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Mind coach certifiée membre de la Fédération Internationale de Coaching, spécialiste du stress et de la communication positive, j'ai créé une technique thérapeutique unique associant la méditation, la synergologie, la sophrologie, le reiki et le yoga. Votre vie ressemble-t-elle à ce dont vous rêvez? Qu’est-ce qui vous empêche de l’améliorer, d’évoluer ? Que se passerait-il si...? Ce qui vous semble impossible aujourd’hui peut être possible demain. Il s’agit de vous en donner les moyens. Je vous accompagne à y voir clair, à prendre conscience de vos véritables besoins, de vos valeurs, des décisions que vous devez prendre…, que vous avez le droit de prendre. Vous avez envie de mieux-être, d’équilibre, d’apaisement, d’épanouissement. Vous souhaitez vivre mieux et être acteur de ce changement. Je vous aide à maîtriser vos émotions, pour enfin agir et réussir.

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Des conseils bien-être sous forme de vidéos, articles ou citations. Un mélange de sophrologie, coaching de vie, coaching amoureux, yoga thérapeutique et fengshui pour une vie plus harmonieuse

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5 stratégies si tu te plains trop

Emily Pearl

Ton surnom est la/le rabat-joie, tu es souvent pessimiste … Mais d’où vient cette habitude de toujours te plaindre? Des études ont décelé que les personnes qui se plaignent beaucoup sont souvent des victimes d’injustices réelles et craignent d’en être de nouveaux. Tu peux avoir subi des humiliations durant l’enfance ou des périodes de rejet et d’abandon. Si la chaîne de blessures familiales (voire ancestrales) n’a pas été brisée, tu vas devenir le porte-parole de tes ancêtres et te plaindre à leur place. Sois à l’écoute de tes plaintes qui peuvent dissimuler des problèmes plus importants non résolus. Lorsque tu te plains du plat “trop tiède”, du train en retard, du froid dehors … tu exprimes ce que tu as peur de divulguer par pudeur ou parce que cela est trop intime. L’expression de ta blessure, de ta souffrance, se reporte sur quelque chose d’anodin.

Je te propose 5 stratégies lorsque tu t’entends te plaindre :

  1. PRENDS DU RECUL

    Pose-toi simplement cette question au moment présent de la plainte : est-ce que cela va m’importer dans 5 minutes, dans 5 mois, dans 5 ans?

  2. ÉCOUTE-TOI

    Prends ta plainte au sérieux comme une thérapeute le ferait. “Quelle est la problématique? Est-ce que la petite chose qui t’irrite représente un plus grand souci dans ton quotidien?" Prends 5 minutes pour écrire tes plaintes dans un petit journal au quotidien comme un détective privé. Tu vas découvrir ce qui se répète et qui te pousse à bout.

  3. PRENDS ÇA COMME UN JEU

    Accroche un ruban, élastique ou un bracelet sur ton poignet. À chaque fois que tu t’entends te plaindre, tu vas changer ce ruban, élastique ou bracelet de bras. Le jeu est le suivant : challenge toi pour garder le ruban ou bracelet sur le même bras au moins une journée, ensuite une semaine, ensuite peut-être 1 mois qui sait?

  4. CHOISIS LE BON MODE DE COMMUNICATION et REFORMULE ta plainte

    Quel est le meilleur moyen pour partager ta plainte? En personne, via mail, au téléphone? Surtout ne te plains jamais via Facebook ou Insta en public! Ensuite, essaye de la reformuler pour ne pas qu’elle devienne personnelle. Je m’explique plutôt que de penser ou dire “je suis maudit(e) car mon train est toujours en retard”, reformule par '“c’est embêtant que le train soit en retard à chaque fois” Pas de “JE” pas de “MOI”. Tu verras ton esprit pourra déjà faire la différence et tu seras un peu plus optimiste :-)

  5. LES PETITS BONHEURS DU JOUR

    Prends un joli petit carnet ou sur tes notes téléphone pour écrire chaque jour “tes petits bonheurs” : manger un bon cookie, contempler les feuilles dans un arbre, le sourire d’un inconnu, ton enfant qui te dit merci … “ tout ce qui te remplie de joie peut être écrit.

    Reste patient(e) pour changer de perspective cela peut prendre du temps de te reprogrammer et c’est normal! Sois tolérant(e) envers toi-même et tu verras que cela t’apportera du bonheur pas seulement au quotidien mais pour ta vie entière :)

4 outils pour arrêter d'auto-saboter tes relations amoureuses

Emily Pearl

Avant d’essayer d’arrêter ce schéma destructeur, il faut que tu comprennes quelles en sont les causes. Nous avons tous et toutes des passés différents avec des blessures qui nous sont propres. La raison principale d’auto-sabotage est une peur de l’intimité. Tout le monde a besoin d’intimité pour être heureux(se) mais pour certain(e)s, l’intimité peut-être liée à des expériences négatives plus que positives, ce qui va générer un mécanisme de “chaud/froid” au sein d’une relation et souvent mener à la rupture d’une belle relation.

1- Les TRAUMAS durant l’ENFANCE

Si tu avais des parents abusifs ou difficiles (que ce soit émotionnellement ou physiquement), ta croyance limitante sera alors : '“ je ne peux pas faire confiance aux personnes les plus proches de moi." Dans ton esprit, tes parents t’aiment (of course) donc s’ils t’ont fait du mal, ceux/celles qui vont t’aimer par la suite vont “évidemment” te blesser.

2- Tes PEURS

D’abord vient la fameuse peur de l’abandon: ceux/celles que tu aimes vont te quitter quand tu seras le plus vulnérable. Ensuite, la peur de la fusion : tu penses que tu vas perdre ton identité, ta capacité de prendre des décisions par toi-même si tu te mets en couple.

TU DÉCIDES DE CHANGER DÈS MAINTENANT!

Pour quitter ce cercle vicieux, tu dois introspecter et observer les schémas répétitifs dans tes relations amoureuses. Sois honnête avec toi-même et regarde ce qui a pu te blesser dans ton enfance ou durant ta première relation amoureuse.

1- Quel est ton mécanisme d’attachement?

Comment est-ce que tu rentres dans l’intimité? Quel est ton schéma? Le type de schéma idéal est basé sur la sécurité. Dans ce cas, les partenaires se font confiance et restent des individus distincts avec leur intimité propre + l’intimité du couple. Durant ton enfance, certaines expériences ont pu te pousser à devenir méfiant(e), anxieux(se), distant(e) … Ce sont ces blessures qui t’empêchent d’avoir une relation saine et épanouissante. Tu peux travailler avec un/une thérapeute pour développer ta confiance en toi et briser les croyances limitantes. Je suis à ta disposition pour te guider.

2- Quels sont tes déclencheurs?

L’auto-sabotage ou la peur de l’intimité peuvent très bien débuter après un élément déclencheur (encore) inconsciemment pour toi. Peut-être une phrase, un mot un endroit, une odeur … Essaye de te pencher sur ces éléments déclencheurs, de les éviter et de prendre du recul pour qu’ils ne t’atteignent plus.

3- Prends tes responsabilités

Tu dois te sentir responsable d’abimer tes relations amoureuses. La relation parfaite n’existe pas mais si tu es certain(e) qu’elle va échouer tu vas forcément être déçu(e) à chaque fois. Accepte d’être vulnérable, de reconnaitre tes problèmes liés à l’abandon et au rejet, et essaye même d’en parler à ton/ta partenaire.

3- Lâche prise

Lorsqu'on auto-sabote, on se comporte alors exactement comme dans cette situation où on a été blessé dans le passé. Répète toi alors “c’est dans le passé, j’ai le droit au bonheur aujourd’hui!”

4. Sois patient(e)

Les relations amoureuses ne sont jamais faciles et il est important d’user de patience. Tu as décidé de parler de ton mécanisme d’auto-sabotage à tes proches, à un/une thérapeute ou même à ton/ta partenaire. Tu prends du recul et tu peux être fièr(e) de toi! Sois patient(e) avec toi-même et ne te juge pas!

6 signes que tu auto-sabotes tes relations amoureuses

Emily Pearl

Est-ce que tes relations amoureuses se terminent toujours avant même d’avoir commencé? Quelques signes pour savoir si tu fais partie de ceux/celles qui auto-sabotent leur relation amoureuse.

1- Tu es constamment en train de penser à la “FIN” de ta relation en cours

Quand est-ce que cette relation va se terminer? C’est surement pour bientôt? Alors qu’au final tu apprécies énormément la personne en face de toi. Tu ne fais aucun engagement. Tu te demandes à longueur de journée “ si quelque chose ne va pas, comment faire pour me retirer facilement de cette relation?” Tu fuis toute forme d’engagement car cela peut-être un frein à une rupture facile. Tu peux devenir distant et jouer au “chaud/froid” pour te protéger

2- Tu manipules pour faire douter ton/ta partenaire

Tu n’hésites pas à faire douter ton/ta partenaire de sa mémoire, de sa perception de la réalité et de sa santé mentale pour te protéger au sein de votre relation. C’est une forme d’abus. Exemple : ton/ta partenaire est triste parce que tu as annulé votre rendez-vous, tu vas lui répondre qu’elle/il n’est pas vraiment triste et qu’elle devrait se remettre en question car c’est de sa faute si c’est annulé. “

C’est un signal d’alarme que tu ne crois pas que les sentiments de ton/ta partenaire sont réels (alors que si!)

3- Tu enchaines les conquêtes

Tu es sur Tinder, Bumble, Hinge … tu as plusieurs fenêtres ouvertes en même temps et même lorsque tu te mets en relation tu gardes toujours un oeil sur ces fenêtres/possibilités pour te protéger. Tes proches te demandent pourquoi tu ne te poses jamais réellement avec quelqu’un. Tu décides de rompre pour des mini détails et le lendemain tu reprends une autre “option” dans tes anciens contacts Tinder pour reproduire la même chose. Le cycle se répète sans cesse même si tu n’as pas envie qu’on dise que tu “joues” avec les autres.

4- Tu es jaloux(se)

Tu es certain(e) que ton/ta partenaire du moment voit quelqu’un d’autre en même temps. Tu fais des petites allusions au départ qui peuvent se transformer en contrôle. Ce qui peut pousser ton/ta partenaire à mettre fin à votre relation. À ce moment là, tu te dis évidemment que tu avais raison de te protéger.

5- Tu critiques l’autre

Tu cherches la perfection chez l’autre alors que tu sais bien que c’est impossible. Tu peux trouver des petits détails repoussant. Ton/ta partenaire mettra fin à la relation à force de se faire critiquer à longueur de journée.

6- Tu manques de confiance en toi .

Tu admets ce manque de confiance à l’autre. Tu te déprécies “je ne suis pas aussi brillant que toi…”, “je suis un loser”. Ton/ta partenaire va essayer de te rassurer au départ mais à force cela deviendra surement trop “énergivore” et il/elle lâchera prise.